Le train de fonction va-t-il se substituer à la voiture de fonction ? Un danger pour l’industrie automobile ?

« 2,8 millions de voitures de fonction, c’est monstrueux ».
Le patron du TGV et des Intercités, Alain Krakovitch n’a pas peur des mots ! Encore moins de la polémique !

Il l’a déjà prouvé récemment en allumant sur Twitter les joueurs du PSG qui ont préféré se rendre à Nantes en jet privé plutôt qu’en TGV (deux heures de train) pour jouer un match de foot de L1. Il s’attaque, cette fois, aux heureux bénéficiaires d’une voiture de fonction, parfois aussi considérée comme un complément de salaire.

Et d’enfoncer le clou : « Ces voitures servent essentiellement à partir en week-end. »

Alain Krakovitch est persuadé de ne pas être loin d’une solution, avec un nouveau concept-service : « le train de fonction ».

Effectif dès 2024 ? Mais avec quelle offre ?

Alain Krakovitch envisage « une offre de bout en bout qui permettrait probablement dans le cadre du crédit mobilité, d’allier le train, mobilités douces et location de voiture. »

Et de reconnaitre toutefois : « cette offre reste encore à construire. » Son objectif est, cependant, bien de lancer en 2024 ce « train de fonction ».

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