Vous voulez animer vos déjeuners familiaux ? Alors lancez le débat sur le sujet suivant : « Face au réchauffement climatique, l’industrie est-elle le problème ou le moyen de trouver les solutions ? ».

Aux Forces Françaises de l’Industrie, on aurait tendance à dire que « la question, elle est vite répondue », comme disait récemment un lointain disciple de Montaigne.

Pour nous, l’industrie, par sa capacité à catalyser l’ingéniosité humaine, a les moyens de nous sortir des problèmes qu’elle a contribué à créer, à l’époque où nous ne savions pas (ou nous ne voulions pas savoir).

Vous en doutez ? Prenons un exemple.

On utilise trop de produits dérivés du pétrole dans certains secteurs économiques ? Et en plus, on les importe de très très loin ? Eh bien, des milliers de jeunes entrepreneurs français s’attaquent, en ce moment-même, à ces problèmes et tentent d’y apporter des solutions vertueuses via un modèle d’affaires rentable.

Capillum en est un parfait exemple. Elle fait partie de ces jeunes entreprises qu’on adore. À tel point qu’on vient de la prendre dans la première promotion de notre accélérateur auvergnat afin de l’aider à lever des fonds.

Ses fondateurs, James TAYLOR ♻️ et Clément Baldellou, ont identifié un gisement à fort potentiel de décarbonation pour des dizaines d’applications industrielles. Grâce à un gisement naturel, biologique même, qui pousse sur nos têtes : nos cheveux.

James et Clément se sont vite rendu compte du potentiel incroyable de ces fibres.

Des fibres qu’on traite aujourd’hui comme des déchets. On va chez le coiffeur pour qu’il nous en débarrasse, puis le coiffeur s’en débarrasse lui-même.

Tout ceci a un coût pour les commerçants, pour la société et pour le climat. Car au bout du compte, les déchets, on les brûle. Capillum a mis sur pied un réseau de collecte de cheveux dans des milliers de salons de coiffure de l’Hexagone. Ils transportent cette matière dans leur usine et la transforment en différents produits de substitution aux produits pétroliers.

  • Du paillage qui permettent de fertiliser et de mieux protéger ou irriguer les espaces verts.
  • Des fibres utilisables pour le textile technique.
  • Des fibres absorbantes pour dépolluer, des matières utilisables par le marché biomédical.

Bref, ces gens-là sont formidables. Si vous voulez écouter leur histoire et éventuellement investir dans leur aventure, connectez-vous à la prochaine session de pitchs virtuel de notre accélérateur. Ce sera le 13 juin prochain, juste avant notre soirée parisienne. Toutes les informations sont sur notre site.

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