Chers amis, on devient franchement chics aux FFI. Ce soir, à 18h30, lors de notre traditionnelle FFI Académie on va vous annoncer qu’on lance un magazine. Inscrivez-vous ici.

Et d’ailleurs, on a besoin de vous pour trouver un titre

Notre époque est marquée par une révolution du sens. Dans nos vies professionnelles et dans notre vie en général, nous avons besoin de nous sentir utiles. De comprendre à quoi on sert et à quoi sert ce que l’on fait.

De plus en plus d’entre nous veulent trouver une cohérence, un certain alignement. Entre les valeurs qui leur paraissent importantes dans la vie et ce qu’ils font dans leur travail.

Et ça, ça n’est pas une très bonne nouvelle pour ce qu’on a appelé les « métiers à la con »

Vous savez ? Ce sont tous ces métiers qui ont été créés suite à la complexification extrême de l’organisation des entreprises. Des métiers aux titres ronflants qui finissent par nous faire ronfler, tant ils nous ennuient.

Très administratifs, nouveaux donc « modernes », plutôt bien payés, proposés par de grandes entreprises prestigieuses ou de jeunes startup rutilantes, ils ont vite occupé le haut de la hiérarchie des métiers.

Comme souvent dans notre pays de symboles, un magnifique récit s’est mis en place. À l’école, on nous les vantait. Ils étaient la voie royale, le monde de demain. Ils venaient sortir les bataillons d’ouvriers de l’obligation de travailler de leurs mains.

On invoquait Zola d’un côté, la modernité des startups de l’autre. Les accidents du travail d’un côté, la sécurité et le prestige des fonctions à la californienne de l’autre.

La révolution du sens remet les métiers de la main au goût du jour

Ce récit a contribué au déclin industriel de la France qu’on dénonce à longueur de posts sur cette page. Et la bonne nouvelle, c’est que son épilogue a sonné. Car la révolution du sens remet les métiers de la main au goût du jour. Voir ce que l’on produit, à quoi on sert, sentir qu’on est utile à l’équipe est essentiel pour se sentir fier.

On voit donc de plus en plus de transfuges quitter les fonctions qu’on nous avait vendues comme un Graal.

Après être passés par les cases « réunionnite », « process à noix », burn-out ou non, ces diplômés viennent frapper en classe de CAP ou dans les instituts de formation professionnelle pour se lancer dans une deuxième vie.

Le mouvement est naissant. Pas encore dominant. Mais il gagne en vigueur. Et nous, aux FFI, on va souffler sur ces braises de toutes nos forces.

Le retour en grâce des métiers du « faire »

On s’est donc associé avec le média Les Déviations pour publier un magazine sur le retour en grâce de ces métiers. Et on va dédier plusieurs de nos événements à cette thématique. Les amis, on a besoin de vous ! Pour l’acheter, bien entendu. Mais aussi pour nous aider à lui trouver un titre.

On hésite. Lequel préférez-vous ?

1. Faire pour trouver du sens. Le grand retour des métiers de fabrication.
2. Retrouver du sens par les métiers de la main.

D’autres idées en commentaire. À vos suggestions.

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