La France veut taxer ses actionnaires et leurs holdings. Probablement parce qu’elle a oublié à quoi ça sert, un actionnaire.

Beaucoup de nos compatriotes considèrent que les actionnaires sont des rentiers qui ne sont là que pour encaisser les bénéfices.

Philippe Veran, historiquement le premier membre de notre club FFI, a construit, en partant de rien, Biotech Dental Group.

Ce leader mondial des prothèses dentaires et des aligneurs fabrique l’intégralité de sa production en France (Ville de Salon-de-Provence). Son usine ultramoderne et ultra propre a créé de nombreux emplois. Elle contribue ainsi largement à nos solidarités nationales.

Philippe a investi, par ailleurs, dans des dizaines de hashtag#startup, de hashtag#PME et d’hashtag#ETI.

Bref, l’argent qu’il a gagné et qui transite par sa holding sert vraiment à quelque chose.

Quand on lui demande pourquoi certains Français n’aiment pas les actionnaires, il rappelle que tout vient d’un problème de culture.

« En France, on a l’impression qu’être actionnaire c’est mettre 1 et récolter 10. C’est pas vraiment comme ça que ça se passe dans la vraie vie. »

Lui, via sa holding, soutient ses dizaines de participations et leurs emplois dans les moments difficiles. Et en ce moment, il y en a, des moments difficiles, pour les PME de nos territoires.

La France est l’un des pays qui disposent de l’épargne la plus importante au monde. Mais :
– Elle préfère la placer dans l’immobilier ou sur des livrets garantis par l’État, afin de générer une rente sûre.
– Plutôt que de l’investir dans l’économie réelle, c’est-à-dire dans les PME de nos régions qui créent de la richesse et des emplois.

C’est vrai que c’est plus risqué. Mais c’est aussi, en moyenne, plus rémunérateur.

En laissant notre épargne sur nos comptes, nos banques la prêtent à des fonds étrangers ou à des entreprises internationales. Eux investissent, puis rachètent nos PME.

Cela pose un problème de souveraineté. Beaucoup de nos fleurons passent ainsi sous pavillon étranger.

Voilà pourquoi il faut encourager les Français à développer une culture d’investisseur et d’actionnaire dans les PME et start-up de proximité.

En valorisant le rôle d’actionnaire. Et en le protégeant de la rapacité d’un système qui :
– Ne voulant pas se réformer et faire des économies.
– Envisage de taxer les réserves de cash qu’ont constituées les holdings des trop rares Français qui investissent dans l’économie réelle.

Remercions plutôt ceux qui investissent. Et, si on trouve que leur façon de gagner de l’argent est si simple, soyons plus à les imiter.

On parlera du financement de notre souveraineté économique lors de nos événements :
– Du 5 novembre à Paris.
– Du 17 octobre à Metz avec Léonidas Kalogeropoulos.

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