Duralex® SCOP SA lève 5 millions et fait de sa levée de fonds un vrai succès populaire pour l’investissement et le made in France.
Plus de 7 000 de nos compatriotes ont répondu à l’appel du célèbre verrier. Grace à eux, il a pu boucler son plan de financement. 5,8 millions ont, en effet, été levés lundi en quelques heures via une plateforme de financement participatif.
L’opération a tellement bien marché qu’elle a été sursouscrite. 800 000 euros de plus qu’attendu.
« On va faire des frustrés », s’excusait presque François Marciano auprès du Figaro.
Les épargnants qui ont décidé de donner du sens à leur épargne en la plaçant dans l’économie réelle en attendent un rendement de 8 % d’intérêts par an. Le tout pendant sept ans et en partie défiscalisé.
C’est la contrepartie du risque qu’ils ont accepté de prendre en s’impliquant dans un projet entrepreneurial qui comporte, par nature, des risques.
C’est une très bonne nouvelle pour l’industrie française.
Car Duralex, qui a été sauvée à l’été 2024 grâce à l’action de François Marciano et Vincent Vallin, a encore besoin de financement. Les deux hommes avaient alors mené une opération aboutissant à la reprise de l’entreprise par ses salariés. Opération soutenue par des collectivités locales, l’État et des organismes financiers (dont Bpifrance).
Forte de débuts commerciaux prometteurs, Duralex doit poursuivre la modernisation de son outil de production en achetant des machines et investir en marketing.
Car, si la marque marche très bien à l’export, elle n’est pas encore achetée suffisamment en France.
Et c’est dommage, car si sa notoriété est forte, si la marque trône en bonne place dans nos cœurs et nos souvenirs d’enfants, elle a également besoin de notre soutien de consommateurs pour poursuivre son redressement.
Son chiffre d’affaires est attendu à 33 millions d’euros cette année. Il ne lui manque que deux millions pour atteindre l’équilibre.
Vincent Vallin, directeur stratégie et développement de la marque, membre de notre club FFI, me l’a rappelé encore récemment : Il suffirait que chaque famille achète un verre Duralex tous les cinq ans pour que son usine soit largement profitable.
Alors, à l’approche de Noël et du MIF Expo – Le Salon du Made in France qui s’ouvre ce jeudi à Paris, vous savez quoi faire !
Si vous êtes investisseurs et que vous vous intéressez à notre #réindustrialisation : notre club FFI de business angels et son patron, Raymond BOCH, n’attendent que vous ! Il permet de soutenir la croissance de PME #madeinFrance,
François Marciano sera reçu à Nice le 13 mars prochain. Plus d’infos sur la page du club FFI 06.
Il a, par ailleurs, accepté de devenir le parrain de notre club FFI Blois.
Quant à moi, je serai aujourd’hui à #Rouen, demain à #Caen pour déjeuner, puis à notre soirée parisienne du 5 novembre (inscription sur notre site).
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