Urgo Medical construit une nouvelle usine en France, à Andrézieux-Bouthéon, dans la Loire !

Son président, Guirec Le Lous, annonçait la nouvelle hier sur LinkedIn.

Ce complexe de 35 000 m², situé à côté du site historique du groupe, créera 200 emplois directs et 115 indirects. Urgo Medical va y investir 60 millions d’euros d’ici à 2029. Il y regroupera sa production de pointe et sa logistique de distribution.

Cet investissement est aligné avec la stratégie de l’entreprise, dont les usines produisent à 80 % en France, à :
• Chenôve et Chevigny-Saint-Sauveur (Côte-d’Or, siège historique et R&D),
• Veauche (Loire),
• Le Tréport (Normandie).

Ceci grâce à une stratégie d’investissement massif en France.

« D’ici 2030, nous aurons investi plus d’un milliard d’euros dans nos sites industriels et de R&D pour devenir l’un des fleurons français de la santé », affirme Guirec Le Lous, petit-fils du fondateur.

Car URGO Group fait partie des rares entreprises familiales françaises de taille intermédiaire (ETI) fondées au XIXᵉ siècle qui ont su résister aux ayatollahs de la « justice fiscale ».

Fondée à hashtag#Dijon par Jean Le Lous, elle est parvenue à transmettre son capital d’une génération à l’autre, malgré les taxes mises en place par ceux qui ne voient dans l’héritage qu’un blasphème à sanctionner.

Elle a ainsi pu rester aux mains de sa famille fondatrice et demeure parfaitement indépendante. À la différence de toutes ces hashtag#PME et hashtag#ETI vendues à des fonds d’investissement à courte vue pour payer les droits de succession, elle peut agir, décider, investir dans le temps long. Et ça marche.

Doté d’un chiffre d’affaires de 890 millions d’euros, dont la moitié est réalisée à l’international, URGO Group emploie 3 800 personnes dans le monde.

L’entreprise ambitionne de devenir le premier producteur mondial de bandes de compression médicale.

Son autre pôle, Urgo Consumer Healthcare, commercialise notamment les pansements hashtag#Mercurochrome et développe les compléments alimentaires, avec les récents rachats de Vista-Life Pharma (Belgique) et MyBestPharm (Pologne).

Pour Guirec Le Lous, cet investissement illustre une fidélité à l’ADN familial :
« Mon grand-père, pharmacien des armées pendant la Seconde Guerre mondiale, avait tiré une conviction de son expérience : la France doit pouvoir compter sur ses propres capacités de production pour soigner ses patients. »

On est bien d’accord avec lui !

Sur sa page LinkedIn, Guirec Le Lous rendait hommage à ceux qui l’ont aidé à rendre ce projet possible :
« Merci à Saint-Étienne Métropole pour leur subvention de 600 000 euros, à ONLYLYON pour leur soutien et à Andrézieux-Bouthéon pour leur accueil. »

Bravo au groupe Urgo et à la famille Le Lous !

Nous préparons une tournée dans nos clubs FFI régionaux pour montrer l’impact positif des entreprises familiales sur les territoires. Et pour les défendre face à la déferlante fiscale.

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